Projet Humanité #1 : Dénatalité

Oulala dénatalité, mais c’est de l’assassinat, du nazisme, du génocide, il faut laisser vivre les pauvres gosses, etc…

…Pourrait-on se dire à la vue de ce mot peu usité (surtout précédé de « projet humanité » !). Cependant, en plus de te laisser chercher sa définition sur internet, je vais te donner le sens que j’instille, personnellement, dans ce mot.

Dénatalité: Décision délibérée de ralentissement des naissances, dans une optique de réduction de la population globale, à long terme.

Je parle bel et bien de réduction, non pas d’extermination, que l’on soit bien clair ! Ralentir la croissance de la population mondiale, voire en inverser la courbe, pourrait servir plusieurs desseins:

  • Dé-mondialiser les pandémies (cet argument est so 2020!)
  • simplifier la répartition des ressources
  • Ralentir drastiquement notre consommation (Étrangement, les gens qui n’existent pas, ont tendance à ne pas consommer, ces fichus négationnistes !)
  • Réduire notre pollution environnementale (Okay on pète moins de méthane que les vaches, mais on se débrouille très bien autrement qu’avec notre … hein. Alors si on est moins nombreux, on est moins à polluer, CQFD)
  • Resserrer les liens entre les gens, même si cela peut paraître forcé. (moins on est nombreux plus on aura besoin les uns des autres, on sera moins remplaçables. On est devenu de sacrées quiches pour ce qui est de survivre seul.)
  • Les vieux arrêteront de dire « les jeunes, vous êtes tous, comme-ci, comme-ça » vu qu’ils n’en croiseront plus beaucoup.
  • Il y aura moins de gosses qui courent et foutent le bordel, dans l’immeuble, quand toi tu essaies de dormir. (Il y aura encore des malchanceux, qui ne dormiront pas plus … Mais il y en aura moins !)

Les cinq premières idées étant sérieuses, je vais développer celles-ci. Le monde a une taille définie, une quantité de ressources définie aussi. Grâce à Lavoisier, on sait qu’on ne fait pas tout disparaître dans le néant, mais en fumée par contre ! (et va construire ta maison avec de la fumée !)

Tout cela pour en arriver à dire, qu’il faut sûrement que l’on ralentisse dans nos modes de vie. On a suffisamment tout défoncé comme des gros sagouins, et la moitié qu’on n’a pas bouffé, on l’a gaspillé. Et comme toi, je n’ai pas forcément la solution, à ce foutoir planétaire, et je ne décide pas, à la place, de bientôt 8 milliards d’êtres humains. MAIS:

On sait que ce sont les humains qui ont le plus modifié l’environnement, qui le polluent le plus par leurs actions, et qui ont le plus grand impact dessus. Alors, s’il y a moins d’humains qui entreprennent moins d’actions en ce sens, on diminue le problème.

Bien sûr cela n’éradique pas le problème, et si les humains restants, polluent deux fois plus, concrètement cela ne changerait rien. Par contre, changer radicalement nos modes de vie, pour être moins polluant, semble prendre un certain temps. Arrêter de faire des enfants, qui pour l’instant, auront une consommation moyenne très importante, empêcherait, au moins, l’augmentation de notre pollution.

Et pour éviter que la planète se vide complètement d’humains, ou soit remplie uniquement de centenaires. Il faut imaginer un cadre à cette dénatalité, une idée directrice sur laquelle broder par la suite. Voici celle que je te propose:

Pour que la dénatalité soit efficace, il faudrait que chaque individu n’ait, tout au long de sa vie, pas plus de deux enfants.

Et c’est au sens strict, si je dis deux enfants par personne, ce n’est pas deux par couple. Tout au long de sa vie, quel que soit son nombre de partenaires, une personne n’aurait pas plus de deux enfants. Et quand bien même le malheur frapperait cette famille, et qu’un enfant, ou que les deux viendraient à mourir, une personne qui a déjà eu deux enfants, ne pourrait en avoir d’autres.

Avec ce modèle-là, la population mondiale ne PEUT PLUS augmenter, c’est mathématiquement impossible (et on ne triche pas avec le clonage ou je ne sais quoi hein !). Puisqu’il y a, au maximum, autant d’enfants que de parents.

De plus, si la médecine continue de progresser, on devrait mourir en moyenne moins vite et moins souvent. (Sauf si tous les non-nés avaient un futur de personnel soignant … oups, risque à prendre.) Donc la population mondiale, ne chuterait pas du jour au lendemain, elle diminuerait progressivement.

1) Pourquoi vouloir baisser la population mondiale?

Tu veux dire, en plus des arguments proposés plus haut ? eh bien … Je pense que beaucoup d’entre nous se sont déjà fait au moins une fois la réflexion sur la population mondiale : « on est trop nombreux » ou inversement « on n’est pas trop nombreux, on ne répartit pas assez bien les ressources« .

Pour moi la plupart de ces arguments sont valables, certaines zones géographiques sont surpeuplées (quand on vit dans des cubes ou des tuyaux d’égouts à Hong Kong) d’autres pas du tout. Les ressources sont abondantes dans certains pays au point qu’elles sont gaspillées, et dans d’autres il est difficile d’avoir accès à de l’eau potable. La technologie permet de faire d’énormes avancées sur ces points-là, mais elle n’est pas répartie équitablement/égalitairement à travers le monde.

On pourrait donc penser qu’il suffit de faire des avancées technologiques dans le recyclage des ressources, ou dans l’optimisation de leur utilisation. Et/ou des avancées sociales dans le partage de ces mêmes ressources, la responsabilisation envers le gaspillage et une évolution de la sobriété dans la consommation.

Alors oui cela pourrait peut-être marcher, je ne suis pas un surhomme pour voir tous les tenants et les aboutissants du problème. Ces quelques concepts susnommés ont déjà énormément de variables à prendre en compte. Il y en a même tellement que je ne saurais dire quels résultats on obtiendrait en modifiant certaines de ces mêmes variables.

Seulement, on se rend tous bien compte que le monde n’est pas si facile à changer. On a tous l’impression d’avoir une bonne idée, si ce n’est LA bonne idée ! pour solutionner au moins un problème. Mais combien d’entre nous la partagent? Plus loin que son cercle d’amis? Qui sait se faire écouter? Et encore mieux, qui a réussi à convaincre ses interlocuteurs d’appliquer cette fameuse idée?

On est beaucoup à avoir de la bonne volonté, mais on n’a pas forcément toutes les capacités nécessaires pour les appliquer. Surtout qu’à ce niveau-là, les idées pour changer le monde, doivent être reprises par les personnes qui peuplent ce fameux monde.

Vous savez comment changer le recyclage et le rendre optimal ? Super ! Mais si personne ne le fait de cette manière, ça ne changera rien au niveau pratique…

Tout ce blabla pour en venir où?…

… Eh bien, pour en venir aux faits, les initiatives pour changer notre mode de vie se multiplient, et de nouvelles semblent apparaître chaque jour (quoiqu’elles ne soient pas les plus relayées par les médias…). Cependant elles impliquent souvent assez peu de personnes, et parfois ce sont les mêmes personnes qui sont sur plusieurs idées en simultané. Ces mouvements sont très importants pour la répartition des ressources, leur utilisation optimale et la préservation de l’environnement de l’humanité (pour préserver l’humanité elle-même).

Mais selon les propos tenus par les scientifiques, les changements ne sont pas assez rapides. Que ces rapports/études soient 100% exacts ou non, ce n’est pas très important, selon moi. Le problème vient du fait qu’elles se multiplient, ces études. De plus en plus d’experts annoncent des changements environnementaux qui vont porter atteinte à la sécurité de l’humanité, de par notre manière de vivre, et notre gestion des ressources planétaires (au sens large)

Je ne pense pas avoir la solution pour accélérer le changement des pratiques sociétales. Et comme cela repose sur des milliards d’individus en même temps, ce genre d’effort est très difficile à fédérer.

Je pense cependant que des prises de conscience se font, et que les exemples d’initiatives que l’on voit fleurir à travers le monde, nous prouvent que cela peut changer.

… Balance le pourquoi du comment de la dénatalité!

Je pense que la dénatalité peut nous faire gagner du temps pour changer tout cela!

En effet, si notre mode de vie ne change pas assez rapidement pour freiner la surconsommation des ressources. La progression constante de la population mondiale ne va pas arranger les choses, à l’inverse, si la population mondiale baisse, et ce même si le mode de vie ne change pas drastiquement, il y aura moins de ressources consommées.

Alors peut-être qu’avec le schéma économique de la croissance perpétuelle et le vieillissement de la population que cela engendrerait, ce n’est pas optimal.

Seulement, il est difficile de croire que l’on peut changer : les conséquences (une consommation débridée de tout l’environnement) sans toucher aux causes (ceux qui consomment).

Comme promis, dans cette solution, pas de génocide, pas de famine, pas d’embargo ni de contrôle des naissances. Il suffit juste d’une prise de conscience et de décider de ne pas faire trop d’enfants.

2) Quelle réduction de la population ce schéma pourrait-il entraîner ? (deux enfants par personne, maximum)

Alors, je ne m’appuie sur aucune étude concrète et en cela on peut me reprocher de faire des extrapolations, et ne te gênes pas, cela voudra dire que tu as lu ces lignes et j’en serais très heureux.

Tout d’abord, si les individus se contentent d’avoir deux enfants maximum, la population n’augmentera pas par le biais des naissances. Seulement par le fait que les parents et les enfants vivent en même temps, ce qui paraît très bizarre dit comme cela mais simplifions l’exemple en ramenant la population mondiale à 1000 individus.

si ces 1000 individus se composent en 500 couples, chaque couple a deux enfants (le maximum) ils y a donc 1000 enfants. Soit un total de 2000 personnes

Lorsque les 1000 parents meurent (de vieillesse ou autre), il n’y a plus que 1000 individus en vie (les enfants).

Ce modèle est extrêmement simplifié et il ne tient pas compte des éventuels petits-enfants, arrière petits-enfants etc…, et c’est voulu (tout comme on n’est pas obligé d’être en couple pour avoir un enfant, les donneurs de spermes ou d’ovules pourraient changer ce modèle etc…)

Mais si chaque individu n’a que deux enfants dans toute son existence (même en étant donneur de sperme/ovule (donc une fois qu’une personne a été deux fois génitrice, elle n’a plus d’autres enfants)) La population mondiale n’augmenterait plus que par un seul facteur, l’espérance de vie.

Imaginons maintenant que l’on compte les différentes générations dans le modèle précédent:

1000 individus forment 500 couples qui ont donc 1000 enfants = 2000 individus

Ces 1000 enfants ont à leur tour 1000 enfants, et aucun grand-parent ne meurt = 3000 individus

Mais avant que les 1000 petits-enfants n’aient à leur tour des enfants les grands-parents meurent = 2000 individus à nouveau. Etc…

Ce calcul extrêmement simplifié qui ne comporte que très peu de variables est une base sur laquelle construire ce raisonnement. En y incluant la mortalité due à toutes sortes de causes (criminalité, maladies, accidents, catastrophes naturelles etc…) la population subira des pertes, incalculables certes, mais ce qui la fera diminuer automatiquement, même si ce n’est qu’à partir de plusieurs générations. (prenons un exemple avec une mortalité de 10% chez la population, à chaque nouvelle génération) et que seulement lorsqu’ils deviennent, arrière-grands-parents, les individus meurent de vieillesse.

EX: -Génération 1: 2000 individus ont 1000 enfants, (mortalité 10% soit 200 individus) = 2000 -200 = 1800 individus

-Génération 2: 900 grands-parents 900 parents qui ont 900 enfants et 10% de mortalité (soit 270 individus) = 2700 – 270 = 2430 individus

-Génération 3: 810 arrière-grands-parents, 810 grands-parents, 810 parents qui ont 810 enfants et 10% de mortalité (soit 324 individus) = 3240 – 324 = 2916 individus

-Fin de génération 3: les grands-parents étant devenus des arrière-grands-parents, selon le schéma, ils disparaissent (vieillesse/maladie etc…) on passe donc de 2916 individus à 2916 – 729 = 2187 individus. Soit moins d’individus qu’en génération 2.

Encore une fois ce modèle est simplifié ( les 1000 premiers individus n’ont pas de parents, la mortalité est très rigide, et il manque plein d’autres variables). Mais c’est juste une explication mathématique simple pour la dénatalité et pour expliquer le chiffre des deux enfants par personne (et non pas par couple).

3 – Quels effets cela pourrait-il entraîner?

Sur le postulat que le reste du mode de vie, ne change pas. Il est possible que cela entraîne de nombreux effets.

Un vieillissement de la population : En supposant que les naissances restent stables et que la médecine rallonge encore l’espérance de vie. La mortalité accidentelle (maladies, catastrophes naturelles) et criminelle continuant à toucher tout le monde aveuglément ou presque.

Une réduction de la population active : Il y aurait de plus en plus, de personnes âgées et très âgées, et de moins en moins d’enfants (la population régressant petit à petit, les adultes n’ayant toujours pas plus de deux enfants, il y aurait de moins en moins de monde sur terre, donc moins de population active car moins de population tout court.)

Des familles disparaissant, car dans le point de vue extrêmement rationnel de ce schéma, si une personne a eu deux enfants et les perd (accident, maladie etc…), elle choisit sciemment de ne pas avoir d’autres enfants. Ce qui éteindrait sa branche généalogique de son.

Des surprises dans les naissances, si une femme est enceinte de triplés, ou qu’au moment d’avoir son deuxième enfant, elle est enceinte de jumeaux, elle se retrouve avec plus de deux enfants de manière involontaire. Ce n’est pas le choix de départ et cela change la donne du modèle choisi.

Une baisse de la consommation : Comme il y aurait moins de foyer/ménage sur terre, le temps avançant, bien qu’ils puissent consommer tout autant individuellement. La somme, de tous ces foyers, serait tout de même, moins grande.

Une désertification, probable, de certaines zones géographiques. Les familles ne devenant plus aussi grandes qu’elles le faisaient avant de choisir la dénatalité, les individus auront tendance à se regrouper dans des endroits où ils peuvent continuer à subvenir à leurs besoins, s’ils ne sont pas complètement autonomes. (ex: un village qui perd tous ses commerces et ses habitants (pas de nouveaux arrivants), se verra peut-être déserté par les derniers habitants qui rejoindront des villes, ou campagnes qui ont une plus forte démographie. Et plus de biens et services nécessaires, à portée.)

Une offre économique perturbée, difficile de se prononcer sur ce point, la population diminuant, la main d’oeuvre, qualifiée ou non, viendra à manquer. Mais impossible de savoir à quel point les technologies futures et la robotisation pallieront à cet effet. De plus des secteurs vont se développer inégalement (l’assistance aux personnes âgées par exemple)

Une foule d’autres facteurs, très difficilement envisageables, du fait que la démographie sera toujours sujette à diverses variables qui bouleversent profondément sa répartition (guerre et exil, catastrophes naturelles etc…) et qu’il faudrait extrapoler sur plusieurs générations, soit des dizaines d’années.

4 – Pourquoi je suis pour ce concept, et ce que je pense que cela amènerait

Car oui c’est bien beau de montrer mes théories pseudo-scientifiques et mes raisonnements partiels (il me faudrait bien plus qu’un article pour exposer le tout bien proprement et de manière exhaustive) mais pourquoi j’en parle et où je veux en venir.

Si tu vis en restant un tant soit peu informé, par les médias (oui, on peut contester leur degré de véracité, effectivement.) du plus conventionnel au plus marginal, la plupart se mettent à parler un tant soit peu d’écologie. Et à moins d’être un négationniste au niveau environnemental, on commence doucement à se dire qu’il faudrait peut-être réagir. Que les études écologiques, soient justes ou à l’inverse, imprécises, elles se multiplient.

On a tous entendu des hypothèses de fin du monde, mais à chaque fois, cela parlait de la fin du monde (enfin, plutôt de l’humanité).

Et je ne te parle pas de fin du monde mayas ! Les types avaient sûrement toute la bonne volonté du monde, mais si ça se trouve, ils ne sont pas allés plus loin que 2012, parce qu’ils ont eu la flemme de compter. Au bout d’un moment, ça se comprend. Ils comptaient faire une mise à jour plus tard, qui sait ?!

Personnellement, je ne sais pas comment cela va évoluer, ni à quelle vitesse et quels sont les événements qui vont nous tomber dessus en premier. Je pense juste que l’écologie est un sujet extrêmement plus complexe que de mettre le plastique dans la poubelle jaune et prendre des douches au lieu des bains. Si l’on veut agir dessus, il faut le faire à énormément de niveaux. Beaucoup de variables sont à changer.

Et pour moi, l’une des plus importantes, c’est la population mondiale, et encore plus la population qui a un niveau de vie élevé (par là entendre, qui consomme beaucoup de ressources, parce que posséder beaucoup d’argent n’implique pas forcément de consommer énormément de ressources). Et comme on parle de pays en voie de développement pour ceux qui s’industrialisent et qui cherchent à atteindre un confort matériel de plus en plus grand… ça n’est pas près de ralentir.

En somme, certains groupes d’individus commencent à consommer moins, d’autres consomment plus, et ce au niveau mondial. Avant que la tendance soit à la sobriété, il va falloir un grand changement social et culturel à de nombreux endroits. Pour faire baisser cette consommation, il faut agir par des chemins de traverse, l’un d’eux est la dénatalité.

Je te ponds un article interminable, mais en fait c’est tout simple:

Moins de naissances = moins de population mondiale (à terme sans) tuer qui que ce soit = moins de ressources consommées.

Est-ce que ce sera suffisant, je ne pense pas. Par contre, ça aiderait pas mal, non ? Pour les autres changements à effectuer, continuons de réfléchir et d’essayer.

En tout cas ce qui est bien avec la dénatalité, c’est que c’est facile à mettre en place pour tout un chacun, il suffit de décider de ne pas avoir trop d’enfants (gare aux accidents de préservatifs!) et … c’est tout.

Si tu as aimé ce que tu as lu, ne prends pas tout de suite rendez-vous pour une stérilisation ! Tu peux me faire une remarque constructive, et me dire ce que tu en penses. Si cela t’a aidé dans la réflexion sur le fait d’avoir des enfants ou pas, tu m’en vois ravi. Pour te remercier et me soutenir, n’hésite pas à utiliser mes astuces gagnant-gagnant. Tu peux aussi partager l’article ! Allez, Barbe douces-bises.

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